Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre courbe en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une respiration lente, une automatisme née d’un fait traditionnel répété sans arrêt. https://voyancegratuiteenligneimm80134.digitollblog.com/34040451/les-courbes-diminués