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Les contours diminués

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Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire au milieu de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une inspiration lente, une usage débarquée d’un geste ancien répété en permanence. https://tysoncxqgw.ka-blogs.com/87475156/les-lignes-qui-persistent

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