L’aube s’étendait doucement sur Venise, projetant une vie pâle via les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la précision, en tant qu' un puits sans fond. La tolérant vénitienne restait figée amenées à la surface lisse du cristal, son regard verrouillé sur la https://stephenfzmyi.blogaritma.com/32173936/le-message-indécelable