Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, zéro brise relativement importante pour tergiverser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer délaissé, comme par exemple s’il répondait à une présence https://erichp987guh2.blog-ezine.com/profile